#TÉMOIGNAGE – SYLVIE PICHON : « CE SONT NOS DIFFÉRENCES QUI FONT LA RICHESSE DE BNI. »

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Pichon

Après avoir été Membre du BNI du Pays Châtelleraudais pendant cinq ans, Sylvie Pichon, rédactrice en communication et formatrice au sein de Scrib’ qu’elle a fondée en 2012, est aujourd’hui Directrice Consultante de ce Groupe, ainsi que du Groupe BNI Haut Poitou Développement dans la région Anjou-Poitou.

 

À combien de Conventions Nationales avez-vous participé ?
Celle de juin dernier était ma 3e Convention. J’y reviens chaque année avec un grand plaisir… c’est « notre » rendez-vous entre DC ! C’est aussi l’occasion de les croiser quasiment tous en l’espace de deux jours et demi et d’avoir des conversations que nous n’aurions jamais eues si nous n’avions pas été réunis.

 

Quel est selon vous le principal objectif des Directeurs en participant à cet événement ?
Pour moi, ce sont avant tout 3 jours d’échanges. Nous confrontons nos expériences, nos idées (bonnes ou mauvaises !), nos méthodes, nos différences dans la manière de gérer nos Groupes, nos réussites, nos échecs… Et puis, c’est aussi une opportunité formidable de resserer les liens de notre équipe régionale Anjou Poitou, car nous sommes dans un contexte différent… même si l’ambiance est déjà au beau fixe le reste de l’année !

 

Profitez-vous de cet événement pour renforcer les liens avec les autres équipes de Directeurs ?
Bien sûr… Ce rendez-vous est pour nous l’occasion de nous rencontrer, de nous poser, de réfléchir et de revenir avec des tas de projets en tête. Au fil des années, nous nous connaissons de mieux en mieux et des affinités se créent en fonction de la manière dont nous voyons les choses et dont nous gérons nos équipes…

 

Selon vous, cet événement est-il une bonne opportunité pour les Directeurs de développer leur business ?
Ça n’est pas pour moi le but premier, mais cela peut arriver, oui… C’est justement en renforçant chaque année ces affinités avec d’autres Directeurs, en se rendant compte que nous partageons définitivement les mêmes valeurs, que nous avons les mêmes priorités qu’alors, les opportunités de business apparaissent. L’an passé, je suis repartie de la Convention avec 2 demandes de collaboration qui ont abouti.

 

Quel est votre meilleur souvenir de Convention ?
L’année dernière, Jérôme Pironnet, Directeur Régional de BNI Haute-Garonne, avait demandé à rencontrer notre équipe Anjou Poitou dans le cadre d’un Tête-à-tête Régions. Il voulait notamment en savoir plus sur le « Happy Business » qu’Olivier Oullié, notre Directeur Régionale, a instauré chez nous depuis près de trois ans et qui a radicalement changé notre manière de voir les choses. Travailler sérieusement sans se prendre au sérieux : cela a véritablement donné un sens à notre participation au BNI, quelle que soit notre place… Directeur ou Membre. Cet esprit a permis à des tas de gens de montrer leur vraie personnalité car il a révélé l’Humain. Je pense notamment à l’un des Membres du BNI du Pays Châtelleraudais, Émilien Pascault, qui, d’un naturel timide, s’est littéralement transformé en appliquant le « Happy » autant que le « Business ». Il a été un Président formidable, il a su faire passer le juste équilibre entre les deux et surtout, donner l’exemple à tous puisqu’au 1er octobre dernier, il était 2e au classement national sur plus de 20 000 Membres. Les échanges avec l’équipe de Jérôme sur ce sujet ont été ce jour-là des plus enrichissants… et un mois et demi plus tard, ce dernier est venu assister à une réunion du Groupe BNI de Châtellerault. Tous les Membres étaient habillés en rose, aux couleurs de Toulouse, des banderoles de bienvenue avaient été fabriquées spécialement pour sa venue, les infomerciales comportaient chacune un clin d’œil à sa présence et nous avions généré cette semaine-là près de 90 000 € de business. Tout y était : le travail et le fun. Il a vu ce jour-là à quoi ressemblait vraiment le « happy business » et la fierté que nous avions à le pratiquer.

 

Que conseilleriez-vous aux Directeurs qui participeront à la Convention Nationale pour la première fois ?
D’y aller sans but précis et de se nourrir des rencontres qu’ils y feront. D’assister aux ateliers bien sûr, car ils sont l’occasion d’y piocher des idées, des solutions à des problèmes… en résumé, qu’ils y aillent pour s’ouvrir l’esprit et pour se rendre compte au fil des conversations que le BNI peut être vécu de différentes manières avec la même efficacité. Car ce sont nos différences qui font la richesse de notre réseau.